
Kisangani : vente présumé des terres au marché central, Jean-Louis Alaso fixe l’opinion
Depuis près d’une semaine, l’actualité dans la ville de Kisangani (Province de la Tshopo) reste dominée par la vente présumée d’une portion de terre au marché urbain, principal centre de négoce.
Dans une conférence de presse tenue ce vendredi 24 avril à la mairie de Kisangani, le premier citoyen de la ville a balayé d’un revers des mains les accusations qu’il qualifie de non fondées lui attribué quant à la vente. Jean-Louis Alaso précise que ces espaces ont été attribués à titre provisoire aux commerçants.
Devant la presse, le maire de la ville a lu le contrat qui lie la mairie aux commerçants occupants ces espaces. A l’en croire, le contrat prévoit la construction en dur pendant une période ne dépassant pas trois ans. Selon le même contrat, trois ans après, ces commerçants occupants ces espaces payeront le loyer qui sera fixé par un arrêté.
S’agissant de nombres de portions de terre accordé provisoirement aux commerçants y compris le montant, Jean-Louis Alaso n’a pas donné des précisions aux questions des journalistes alléguant donner la suite dans une semaine.
La situation de la cession de cet espace au marché central de Kisangani fait couler encre et salives dans les milliers de Kisangani. Cette situation a entraîné une descente sur terrain du député provincial Jacques Mandiongwe mais aussi une rencontre entre les élus de la ville de Kisangani et le bureau de l’Assemblée provinciale.
Jean Claude Fundi.