Tshopo : l’honorable Théouvel Lotika met un accent sur le contrôle parlementaire pour la session de mars.
La session de mars ouverte mardi 30 mars à l’assemblée provinciale de la province de la Tshopo s’annonce rude pour les honorables députés provinciaux comme l’avait souligné le président de cet organe délibérant dans son discours d’ouverture.
Réagissant au discours du président de l’assemblée provinciale, le député provincial Théouvel Lotika parle d’un discours interpellateur qui rassure que la session de mars sera meilleure que toutes les autres.
« C’est un discours ferme qui nous dit que nous devons maintenant travailler. Il nous appelle au travail (députés provinciaux) ; nous devons travailler parce que nous avons enregistré beaucoup d’arriérés parlementaires en termes des édits », souligne l’élu de la ville de Kisangani.
S’agissant du contrôle parlementaire, honorable Théouvel Lotika n’exclut pas cet exercice au cours de la session de mars. Il note que le contrôle parlementaire étant constitutionnel et règlementaire ne peut échapper à la vigilance des honorables députés provinciaux.
« Le contrôle parlementaire est constitutionnel. On ne peut pas se refuser de l’accomplir car il est constitutionnel et réglementaire mais aussi légal. S’il faut contrôler, nous allons le faire », martèle honorable Théouvel Lotika.
Cet élu de la ville de Kisangani estime qu’il n’y a plus crise entre les deux institutions dès lors que les instances judiciaires ont tranché les litiges qui opposaient l’assemblée provinciale et le gouvernement provincial.
Il souligne que cette crise ne pouvait pas empêcher à l’exécutif provincial de travailler moins encore l’assemblée provinciale.
Jean Claude Fundi